Stage en Sardaigne


J1 14 juin 2019 : Départ pour la Sardaigne.

Rendez-vous 13H devant les locaux du GUCEM, l’équipe se compose de Thibaud, Marianne, Baptiste, Coline, Fabien, Péné, Alex, Camille et Moi (Océ). On attend impatiemment Manu!

14h15… Manu arrive, la voiture aspirée, blindée, on trie le matériel, on répartit le bordel aussi dans la voiture de Thibaud et direction le sud. L’objectif de la journée : ne pas louper le ferry, mais surtout prendre des pizzas et un peu de rosé frais avant l’embarquement ! Grand luxe pour cette première nuit, on s’est autorisé les cabines avec douches et lits, afin d’être en forme pour le début du séjour !

étape rosé, validée!

étape pizzas/bières validée aussi

 

 

J2 15 juin 2019 : Du terrain d’aventure sur le granit, au chemin des bêtes dans les buis.

Doux réveil à bord du bateau, nous arrivons à Porto Torres, pressés de découvrir l’île.  Pour cette première journée, direction Olbia, puis le sympathique village de San Pantaleo au nord-est de l’île. Au fil de la route après un léger détour par des pistes scabreuses, orchestré par Camille, on découvre de magnifiques petits sommets granitiques. Ok c’est sûr on veut grimper !! Autour d’un café un peu expresso pour un allongé (bonjour l’Italie !!), on décide de faire une voie plus facile que celle qui nous faisait fantasmer de base mais tout aussi excitante: via del grottone.

 

Voie via del grottone

L’escalade est facile, pas très prisu mais adhérente et agréable. Cela permet à la plupart du groupe de découvrir le terrain d’aventure dans un cadre magnifique, et de poser quelques points en plus de ceux de Manu.

Arrivés en haut, vu sur l’île, vu sur la mer, et des relais tout neufs sont présents, posés par des canyoneurs qu’on a croisé en montant. On est  bien content de pouvoir redescendre de ce chaos de blocs de granit sur des cordes. 1 rappel, 2 rappels… Manu tu fais quoi ? Ah 3e rappel sur coinceurs et ulule (conseil : quand tu ne veux pas laisser du matos pour rappeler la corde, laisse du matos !!!).

Péné dans le rappel

l’équipe au sommet!

S’en suit un retour mythique dans la brousse sarde, en vrais grenoblois, difficile de retrouver le chemin, on serpente entre les buis tels de vrais cochons sauvages. On arrive au voiture aux dernières lueurs du jour, Manu s’écrie ‘’oh regardez il y en a qui finissent à la frontale la haut », non Manu c’est juste la lune qui commence doucement à éclairer le sommet de granit. C’est un moment très poétique mais il reste à trouver de l’eau potable, on est à sec… Meilleure méthode ? Prenez un resto chic, remplissez le bidon à l’aide du tuyau d’arrosage, tout ça en buvant une petite bière du pays. Direction ? Allez, la plage pour bivouaquer, et puis en passant, miracle, on trouve une fontaine d’eau potable…. Tous à poils et… on se nettoie !

 

 

J3  Dimanche 16 juin 2019 : Couenne les pieds dans le sable

Doux réveil au bord de l’eau, tous agglutinés sur les bâches de Manu. Le lever de soleil nous offre un beau spectacle. On s’autorise une première baignade dans la mer. La journée commence bien.

Direction Cala Gonone. Nous nous arrêtons à Dorgali pour faire le plein de nourriture pour la semaine, on se fait plaisir et on n’ oublie pas les bières et le rosé !

De Cala Gonone nous accédons au site de couenne de Biddiriscottai, par une superbe marche d’approche au bord de l’eau entre roches calcaires et basaltes. La balade se termine dans le sable au pied d’une très belle grotte ouverte sur la mer.

Que demande le peuple ? une journée de grimpe, une belle vue, les pieds dans le sable, de la bière, et des gens heureux ! Bon petit détail qu’il faut absolument mentionner, si on reprend les termes exacts exprimés toute la journée par Manu : C’EST DU BEURRE ! Ouais les prises étaient en effet bien glissantes surtout dans la partie haute de la grotte… mais que du bonheur quand même.

Manu dans le dur

 

Après une belle journée dans ce petit coin de paradis, on s’arrête pour plonger dans une petite crique magique. On sort les masques, et là… splendide ! L’eau est claire, le fond blanc parsemé de quelques roches basaltiques, on nage sous des arches. On nage aussi le long d’un couloir qui nous mène dans une grotte au sol à roches basaltiques rondes polies par l’eau… majeur !

 

Le soir nous rejoignons l’agriturismo Nuraghe Mannu, une ferme avec des chambres d’hôtes et des emplacements de camping près de Cala gonone. On s’installe pour le reste de la semaine, presque discrètement.

 

J4 Lundi 17 juin 2019 : l’excursion dans le canyon sombre (très très sombre, souterrain en fait) de Luigi Donini.

Après notre réveil au camping, c’est sous une chaleur déjà plus prononcée que nous fonçons au supermarché local pour faire le plein avant de partir plein sud.

Après heure de conduite sur la route qui relie Dorgali à Urzulei, la SS125, nous empruntons une petite piste qui nous donne l’impression d’avoir quitté l’île pour être en Afrique. Cela n’est peut-être pas peu dire car quelques instants plus tard nous nous arrêtons derrière Manu qui sort en trombe de sa voiture pour courir après un long serpent noir…  On croise ensuite des ânes, chevaux, vâches et même quelques cochons sauvages!

Sur le parking tout le monde est très efficace, les packages sont rapidement faits. L’attrait pour le canyon ne fait que grandir d’instant en instant pendant la courte marche d’approche. Bien sûr, nous sommes tous ravis de mettre notre néoprène alors qu’il fait déjà dans les 30°C. Nous n’avons qu’une envie, foncer dans les profondeurs pour découvrir la suite de ce petit trou et nous rafraîchir…

Après quelques courts rappels nous finissons enfin par trouver de l’eau fraîche ! C’est un petit couloir descendant de gour en gour jusqu’à une grande salle où nous attends une main courante et un autre rappel. Celui-ci nous pose en plein milieu de la rivière que nous décidons de remonter. Les volumes sont impressionnants, le rocher magnifié par l’écoulement de l’eau et la présence de troncs d’arbres nous montre la puissance de la rivière lors de ses crues!

 

Après plusieurs pauses photos orchestrées par Manu, c’est la descente qui nous attend maintenant.

Un premier saut s’offre à nous, mais il faut aller sonder la profondeur de la vasque. Manu fait donc croire à Océ que tout le monde descend en rappel, ce qu’elle fait en première, permettant au reste du groupe de réaliser ce joli saut en toute sécurité après vérification du fond. Sympa le vieux guide !

Par la suite, nous traversons des grandes portions à la nage dans ces gorges souterraines. L’eau éclairée par nos frontales, ressort bleue turquoise. On enchaîne sauts, rappels, jusqu’à apercevoir la lumière du jour, la sortie déjà. Un dernier saut nous mène à une vasque suspendue, entre les entrailles de la terre et la cascade de sortie. Cette dernière fait 50m, nous la descendons en rappel deux par deux. Quel finish !

 

 

Après un détour par la fin d’un autre canyon tout croupi, nous remontons tous ensemble jusqu’à la voiture avec notre sac à dos pantalon néoprène remplit de casque, baudrier, cordes et pour certains de cailloux (Le Man veut s’affuter à ce qu’il paraît)

Retour au camping, pour nous reposer et discuter de cette superbe journée que nous venons de passer et bien sûr de la journée suivante!

 

J5 Mardi 18 juin 2019 “50 nuances de bleues”

Aujourd’hui c’est grande voie, et pas des moindres, direction Pedra Longa pour gravir la voie « Marinaio di foresta ». Arrivés sur le site, on essaie avec quelques barres de réseaux de joindre les contacts qui nous permettraient d’avoir les clefs des grottes pour le lendemain mais en vain… Tant pis la chaleur et la couleur de l’eau nous attirent. Aucune marche d’approche, on mange tranquillement au bord de l’eau, on se baigne dans cette mer aux différentes nuances de bleues, on se fait doubler par une cordée en pensant qu’on était seul au monde… Bon, en attendant on fait de la couenne, c’est pas pire comme on dit !

13h passé, on attaque la grande voie, 7 longueurs nous attendent, à l’ombre en plus, le top ! La cordée de Manu, Péné, et Marianne attaque, suivi de près par la cordée Fabien, Alex, Camille, Puis Coline et Océ, et pour finir Baptiste et Thibaud. La première longueur cotée 5b, nous calme tous, mais le reste de la grande voie s’enchaîne au final assez tranquillement, avec de magnifiques traversées et une superbe 6a+ (niveau max).

C’est magique, les prises sont belles, un peu abrasives et donc adhérentes. On se suit tous avec un rythme homogène, on admire la vue, et surtout cette eau magnifique sous nos pieds. On en profite pour se mitrailler de photos hyperstylés !! La fin de la voie se termine par un joli pas de bloc facile, et on peut acceder au sommet de cette pyramide par un petit sentier rapide, la vue est à couper le souffle !

Le retour se fait par un sentier entrecoupé d’un rappel de 30m où il ne faut pas s’arrêter en plein milieu sur la plateforme mais bien aller jusqu’en bas…

On décide d’aller se baigner encore une fois, on sort les masques, les bières, les cacahuètes.

Mais rapidement je décide de mettre un coup de pied au cul à Manu, pour le lendemain, ouais on a toujours pas les clefs d’aucune grotte, SU BENTU ? SU PALU ? Merde on ne peut pas louper ça, impossible ! On réessaye d’appeler les contacts trouvés sur le net du club de spéléo d’Urzulei… YES ça répond. Demain rendez-vous 9h avec Salvatore à Urzulei pour récupérer les clefs de la grotte SU PALU ! La magie de la journée continue, car c’est quand même un beau coup de chance ! Man tu as eu chaud !! 😉

La journée s’achève par un retour au camping un peu long pour la team Kangoo qui se remet à ramer, 30km/h max sur cette route, belle certes mais, interminable. Manu contacte son assurance, pas drôle… en plus il n’y a pas de réseau. Mais au bout d’une demi-heure la voiture remarche correctement, ouf ! On arrive au Camping et les copains qui étaient dans l’autre voiture ont déjà préparé le repas. Ce soir encore la lune rousse se reflète sur la mer, on n’est pas si mal en Sardaigne !

 

J6 Mercredi 19 juin 2019 Su Palu, on revient quand ?

Comme tous les jours, debout 7h…30, départ 8h direction Urzulei. On emprunte une énième fois la SS125. Petit déjeuner au bar, on ne se fait plus avoir le café long, c’est l’americano ! Salvatore nous retrouve au bar par « hasard », le village n’est pas très grand à vrai dire. Il a ramené avec lui de superbes livres de photos des grottes sardes dont Donini, et Su Palu. Manu, comme un gosse qui découvre un nouveau terrain de jeu, en profite pour lui poser toutes les questions qu’il a en tête, c’est un beau moment de partage ! Mais il est vite l’heure de décoller direction SU PALU. Encore une jolie piste nous amène au parking qui n’est pas très loin de la grotte (15min de marche d’approche), on a quand même moins la classe que les anciens qui venaient en vespa.

La troupe est équipée, certes un peu fatiguée, mais très excitée de découvrir cette cavité. C’est d’ailleurs une première en spéléo pour certains, et pas des moindres.

La grotte est très bien indiquée et fermée à clef par une grille.

Le début du parcours, commence par une diaclase avec deux fractionnés, qui nous amènent dans une première salle où les concrétions très belles sont déjà présentes. On progresse ensuite en direction DU passage clef, une petite chatière de 3-4m de long où seule la tête sort de l’eau, impressionnant !  Au retour on la passe dans le noir !

 

Puis la suite nous mène au pied d’une très belle salle aux grandes concrétions brunes. Il s’en suit un enchainement de salles toutes aussi magiques les unes que les autres, jusqu’à arriver à la rivière que nous remontons par des passages aériens, sur cordes, et pour finir dans le lit de celle-ci, le white Nile.

 

Direction le Blue Nile… Et là… Difficile de trouver des mots à la hauteur de ce qu’on a vu par la suite. Tout d’abord cet immense lac bleu, avec une superbe cascade qui vient se jeter dedans mais surtout, l’impression qu’il ne se finit pas. On a juste envie de se mettre sur un petit bateau et d’aller voir au bout !

On décide de monter le point chaud à côté de ce lac, pour reprendre des forces avant de continuer un peu; au menu salade de légumes frais et pâtes au pesto de la veille, et ça fait du bien!

 

Ensuite on remonte sur la droite du lac, pour rejoindre la zone de bivouac, une grande salle avec du sable, et… un ballon de foot, rien de mieux pour se réchauffer qu’une petite partie de foot. Après quelques escalades sur des chaos de blocs, on arrive dans une première salle où une majestueuse concrétion se présente à nous et à l’intérieur de laquelle on peut admirer des petites concrétions qui se reflètent sur l’eau au sol.

 

 

Puis on remonte encore un peu pour atteindre la salle lilliput. Là c’est la grande claque, on est vraiment tout petit. Je dirais qu’on ne peut même plus parler d’une salle tellement la hauteur est impressionante, les lumières même les plus fortes n’éclairent qu’à peine le haut de celle-ci. Il est temps de faire demi tour, mais avant ça on profite de l’immensité de lieu, on éteint nos lumières et on fait le silence, pendant quelques minutes. Personnellement, j’ai les étoiles dans les yeux à ce moment là, et je me dis qu’il faut revenir, car on a même pas fait la moitié de cette grotte, et on a pu voir tellement de choses qui nous ont émerveillés. Le retour se fait avec concentration car la fatigue est bien présente, 8h sous terre à s’en prendre plein la vue, ce n’est pas rien !

 

 

On sort de la grotte, il fait chaud, c’est vrai on est en Sardaigne ! Alors direction la rivière pour se laver et se rafraîchir.

Il faut ensuite retourner à Urzulei où l’on retrouve Salvatore pour lui rendre les clefs, dans une petite pizzeria. Bières, spritz, pizzas, on est affamé, fatigué, mais on passe un pur moment tous ensemble. Manu comme un fou, se dit qu’il reviendra, 3 jours de traversées, des grottes à relier par des siphons, pour finir dans la mer, une première, et surtout un beau projet en perspective avec les sardes.

Retour tardif au camping, on va bien dormir.

 

J7 Jeudi 20 juin 2019 Canyoning et retour à la maison !

Dernier réveil en Sardaigne, il faut lever le camp, on décolle rapidement direction le canyon de Riu Pitrisconi, près d’Olbia à San Teodoro.

On emprunte encore une fois une longue piste qui nous permet d’accéder au départ du canyon. On s’installe tranquillement pour manger à l’ombre avant d’aller se mettre au frais dans l’eau. En réalité, au vu de la chaleur, on n’a pas très envie de mettre les combis néoprènes.

Ce canyon se parcourt de manière très ludique, rappels, sauts… Le cadre est agréable. On croise de magnifiques plantes, des lauriers roses, des figuiers de barbarie. Il y a un premier saut au début du canyon d’environ 12m, ou une descente en rappel pour ceux qui veulent commencer plus en douceur. Ensuite on arrive sur un petit saut dans une vasque suspendue où nous rejoignons des italiens qui en profitent pour se baigner et pour se prendre en photo avec les filles de la bande ! En effet, on peut sortir d’à peu près partout du canyon ! Il s’en suit une belle cascade en rappel, puis le canyon se termine par une grande cascade de 15m qui plonge dans une immense vasque où nous retrouvons nos italiens du début ! La cascade se saute, avec une belle impulsion en avant. Au final il vaut mieux arrêter le canyon ici car le chemin de retour est plus sympa, et après cette cascade le canyon devient moins ludique, et le chemin de retour, c’est la piste… Alors on décide de profiter un peu de cette belle vasque avant de rentrer tranquillement. On a mis environ 1h30.

Il n’est pas tard mais il est l’heure de retourner à Porto torres pour prendre le Ferry de nuit. En arrivant là bas on en profite pour manger une glace italienne, voire deux pour certains…

Il est 19h, c’est l’heure d’embarquer. Pour le retour, pas de cabine,alors on s’installe à l’arrière du bateau, près de la piscine et du bar, et on sort les bières. Au programme, bières, bières, bières…. et AccroYoga avec Coline.

On mange un peu quand même mais on décide surtout d’enflammer le dancefloor. Bon la musique du bar n’est pas la meilleure mais on passe tous un bon moment. Nous finissons par être seul, la piscine qui est fermé par un filet , nous attire tous.. Et les plus courageux d’entre nous, se jettent nus dedans sans trop se poser de questions… Ils auraient dû… L’eau bien croupie ne les a pas vraiment lavés… On installe le camp de base sous un escalier, dernière nuit tous ensemble.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le matin nous arrivons à Toulon, puis retour pour Grenoble.

Le voyage se termine. On a vécu une superbe semaine tous ensemble, intense, riche en activités diverses, en paysages magnifiques, mais surtout en émotions.

Bon 6 jours sur place c’était trop court, on serait bien restés deux semaines c’est sûr… Il reste tellement de lieux à explorer pour l’escalade, le canyon, et surtout des grottes !!

Merci au GUCEM de nous avoir aidé à financer ce stage, et merci à Manu de nous avoir emmener dans ses belles folies!

Pour ceux qui ont réussi à lire ce compte rendu jusqu’au bout, on laisse des informations pratiques à dispositions, si jamais certains d’entre vous se motivent à remonter un projet Sardaigne… et ne pas hésiter à nous demander des infos !

 

 

INFOS PRATIQUES :

  • Privilégier le bateau, l’impact écologique est présent mais moindre que l’avion et c’est quand même plus simple pour transporter du matériel, et assez convivial de nuit !
  • Sur place on a beaucoup utilisé l’application MAPS ME, surtout pour les points d’eau c’est assez pratique.
  • Le camping sauvage hors saison est faisable mais les campings-fermes comme celui de Nuraghe Mannu sont abordables et calmes (10€/nuit/personne).

 

INFOS ACTIVITES :

Canyoning :

  • à San Teodoro (Sassari), Rio Pitrisconi, description sur descente canyon.

Coordonnées GPS : 40.166887, 9.48974

  • Grotta Donini, sur la route SS125 en direction d’URZULEI. Description accès sur descente Canyon (fiche codula di Orbisi pour l’accès et Grotta la Donini pour la description de la descente et fiche équipement). Canyon souterrain qui nécessite les frontales de spéléo ! Absolument aller explorer l’amont de la rivière.

Coordonnées GPS : 40.166887, 9.48974

 

Spéléo :

  • Grotta Su Palu près d’URZULEI, demander les clefs à Salvatore Cabras. Equipée !!

Coordonnées GPS : 40.177184, 9.564112

Club Speleo d’Urzulei = GASAU, adresse : via risorgimento à Urzulei. Numéro du président (Salvatore) à voir avec Manu ou Océ.

 

Escalade :

  • Via del Grottone, Punta balbacanu à San Pantaleo, terrain d’aventure, niveau 4 max Ne pas faire les petits sauvages et redescendre à pieds par le col. Sinon du sommet 2 magnifiques rappels équipés tout neufs, mais pas trouvé 3e relais chainé.

Coordonnées GPS: 41.03764, 9.469213

  • Secteur biddiriscottai, couenne, à Cala gonone, tout niveaux.

Coordonnées GPS: 40.293606, 9.645756

  • Grande voie Marinaio di foresta à Pedra Lunga (6a+ max, très bien équipée) A l’ombre l’après-midi.

Coordonnées GPS: 40.027342, 9.707125

Pour le Topo demander à Manu, sinon disponible en vente avec un topo grandes voies et un topo couennes.

 

INFOS PRIX:

 

 

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