CR Fitoja : trémie gratoire


Galerie de jonction à prés rouge le (déambule)

14/11/2021 Fitoja Express (Montagne de Banges, Arith, 73).
TPST = 10h30
Joueurs : Aymeric Bougnol (Ursus, SCS), Laurent Mangel (Ursus), Benoît Urruty et Julian Quevarecstum(GUCEM).
Le rendez-vous est donné au parking de Montagny à 8h30. Nous sommes presque à l’heure. Nous décidons de pousser en voiture jusqu’au départ de la piste qui mène à Fitoja Express (FE).
Nous croisons Emmanuel Tessane, Océane Haure et 6 membres du GUCEM ainsi qu’un autre groupe de 3 personnes. Ces deux équipes partent pour la traversée Creux de la Litorne/Fitoja Express. Le CR de leur sortie : traversée litorne-fitoja
Nous entrons sous terre vers 9h35. Benoît ayant pour mission de doubler deux verticales, nous faisons un premier arrêt au P5 afin de le doubler pour finalement constater que ce n’est pas utile. Nous déséquipons, donc, cette corde de 30 mètres en vue de l’utiliser plus loin. Benoît équipe en double le puits de la Disconcorde (P41).
Arrivés en balcon au-dessus du collecteur, nous constatons que la corde en place a un nœud en plein milieu. Elle est tellement tendue que nous préférons utiliser la corde de 30 pour équiper. Au passage, nous gagnons du mou sur la corde en place afin qu’elle puisse également être utilisée.
Nous avons mis un peu plus d’une heure pour descendre. Nous poursuivons jusqu’au début de la Trémigratoire dans laquelle nous cherchons un peu les passages et repérons certains obstacles à pulvériser.
La sortie de la trémie est quelque peu humide car il est nécessaire de passer sous une cascatelle.
Nous nous arrêtons peu avant la salle de l’Olympe pour nous alimenter et faire quelques photos avec les puissantes lampes de Benoît. Nous repartons vers l’aval. Pendant que j’attaque la montée de la corde qui mène au déambule Benoît fait un aller-retour là où nous avons mangé pour récupérer ses deux lampes oubliées, afin de pouvoir faire d’autres photos dans ces grands volumes.
Peu après, nous sommes au bord du siphon suspendu où Aymeric fait quelques clichés et Benoît s’immerge de la tête au ventre pour récupérer une de ces lampes. Nous faisons un petit tour vers le réseau des Argonautes mais faisons rapidement demi-tour car l’heure tourne et nous n’avons pas commencé l’ouvrage.

Siphon de prés rouge avec Benoît tentant de récupérer sa lampe !

Coté Prés rouge

Nous sommes rapidement de retour à notre coin repas où nous grignotons un peu. Aymeric constate qu’il a oublié son Pantin au départ du déambule et va donc le chercher tandis que nous attaquons la montée. Nous nous arrêtons dans la trémie à un passage que nous jugeons un peu trop étroit et sortons le perfo. Aymeric nous rejoint à ce moment-là. Le courant d’air étant aspirant, le passage est donc mis à un gabarit plus acceptable. Nous remballons et poursuivons la remontée. Nous faisons deux autres arrêts afin d’utiliser le matériel apporté. En attendant qu’un nuage se dissipe, nous faisons un aller-retour rapide jusqu’à la plage d’entrée de la Salle Fitoja afin de nous alléger de nos charges. De retour dans la trémie, nous constatons que l’étroiture n’est plus. Aymeric en profite pour déplacer quelques déblais.
Le travail étant terminé pour aujourd’hui, nous nous dirigeons vers la sortie. Julian déséquipe les cordes mises en double. Nous sommes ralentis au P41 par les deux équipes rentrées par la Litorne.
En définitive, certains passages critiques de la trémie passent beaucoup mieux. Il reste encore au moins un passage pénible nécessitant une ou deux marches voir plus. Nous ne sommes pas certains que la trémie reste ouverte durablement. Mêmes si nous ne les avons pas trouvés, il est encore possible qu’ils restent des blocs mobiles formant portes.
La redécouverte de cette portion du réseau après plus de vingt ans fut un réel plaisir.
Merci à Laurent et Aymeric de m’avoir transmis le CR

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