Gournier


Participants: Françoise, Cécile, Tim Trou, David, Jérémy, Damien

TPST: 7h

Après 2 semaines à se demander si les conditions météo vont le permettre, on décide de tenter le coup!

La neige sur la route d’accès ne nous pose pas de problèmes, par contre le -2°C sur le parking motivera à se changer rapidement. Après quelques photos du bateau dans la neige, on décolle et on profite du sentier d’accès recouvert de neige fraiche.  A 10h on est à l’entrée de Gournier.

Pour limiter le poids dans le bateau à chaque voyage, Françoise se dévoue pour piloter le bateau, elle a de la chance pour sa première sortie :). Je pars en premier pour équiper la vire. On passe l’obstacle rapidement et on part dans les grandes galeries fossiles. Manu n’est pas là pour nous présenter les raisons de la morphologie de la grotte alors on essaie de se rappeler un peu ses explications pour les donner aux deux nouveaux.

Le Rythme est bon, on fait une petite pause pour faire la photo d’équipe qui va bien et à 11h45 on est à la salle à manger. On a remarqué que la grotte est plus humide que lors de notre dernière visite et toutes les cascades coulent bien, donc avant de se changer on va vérifier le niveau de la rivière… il est parfait! On pourra même passer dans la voute mouillante au retour 😉

Après quelques scènes tendancieuses, pour mettre les baudriers par dessus la combinaison néoprène, on mange un bout. Avant d’avoir froid on décide de partir dans la rivière, la première partie se fait bien sans trop se mouiller, mais autant aller dans l’eau on est équipé pour (hein Françoise 😉 ). On s’amuse dans l’étroiture aquatique puis on continue. En 1h40 on est à la cascade de 12, c’est notre terminus du jour. On profite un peu, on fait quelques photos et on repart.

En 1h on est revenu à la salle à manger, petite pause casse-croute et on se dirige vers la sortie. 40 minutes plus tard on est à la vire d’entrée.

Cécile s’occupe de déséquiper pendant qu’on gère les kits et qu’on saute. Françoise s’occupe à nouveau de faire la navette fluviale. On met notre nez dehors juste à temps pour voir le soleil se coucher, ça nous motivera à être efficace pour ne pas mourir de froid. La petite bière qui va bien et on repart pour Grenoble (ou Lyon 😉 )

Damien

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